Deux musiciennes passionnées, Aigerim Matayeva et Aigerim Shuster, partagent un rêve : offrir aux enfants un lieu où la musique et la créativité peuvent s'épanouir librement. En tant que mères, musiciennes professionnelles et entrepreneuses, elles ont mis à profit leur riche expérience pour fonder l'Académie des Petits Musiciens, un espace unique où chaque enfant peut découvrir et développer son potentiel artistique.
Aigerim Matayeva, pianiste talentueuse originaire du Kazakhstan, s'est produite dans des salles prestigieuses en Europe et au Kazakhstan, et est lauréate de nombreux concours internationaux. Forte de plus de 12 ans d'expérience dans l'enseignement du piano, elle a accompagné ses élèves, dès l'âge de trois ans, vers des réussites remarquables sur la scène internationale. Aigerim a également joué en tant que soliste avec orchestre et en musique de chambre dans des lieux renommés tels que la Philharmonie de Luxembourg, la Salle Cortot à Paris, la Scène nationale de Belfort « Grrranit », et bien d'autres.
Aigerim Shuster, multi-instrumentiste spécialisée dans les instruments anciens kazakhs et turcs, a également performé sur les plus grandes scènes mondiales. Elle a joué dans les salles de concert les plus prestigieuses du monde, telles que le Théâtre de la Ville Sarah-Bernhardt, la Philharmonie de Berlin, l'UNESCO, le Brucknerhaus, la Scène nationale Le Grrranit, la Salle Cortot, et bien d’autres. Elle a été reconnue en 2022 comme l'une des meilleures musiciennes-entrepreneures en France, une distinction qui reflète son engagement et sa créativité.
En fondant l'Académie des Petits Musiciens, les deux Aigerim ont voulu créer un environnement où l’apprentissage se fait avec amour et bienveillance. Leur école n’est pas seulement un lieu d’enseignement musical, c’est un espace où la curiosité est éveillée, où chaque enfant est encouragé à explorer ses talents et à grandir dans un cadre sécurisant et stimulant. Elles ont investi tout leur cœur dans ce projet, veillant à ce que chaque détail reflète leur vision d’une éducation artistique épanouissante, tant pour leurs propres enfants que pour ceux des autres.
prouve bien : l'un des élèves, âgé d'à peine un an, a prononcé son tout premier mot. Et ce mot n'était ni "papa" ni "maman", mais "Bach". Ce moment a